PAN. PAN. PAN !!!!!

10 décembre 2009

Inévitable également le TIR. et son cortège de démontage d'armes, de nettoyage (Jamais assez bien fait), et de graissage (Toujours trop abondant).

MAS 49 culasse démontée.

Sans me vanter je suis le plus rapide dans le démontage et remontage des armes, formation oblige.

En revanche pour le tir c'est une autre histoire. Mon premier tir sera tir couché à 200 mètres au MAS 49 . Les tirs se font par groupes et chacun tire à sa convenance, pas évident de bien tirer quand à coté de vous, juste au moment où après avoir aligné laborieusement l'oeilleton et le guidon et au moment de presser la queue de détente (gâchette pour les non initiés) , vous entendez une détonation qui vous fait sursauter.

Mon H+L* n'est pas terrible, et une balle à du se perdre dans le talus de protection.

* H+L surface dans laquelle sont logées les balles caractérisé par la somme de la Hauteur et de la Largeur.

Je n'étais pas si bon que cela.

Il m'est arrivé une fois, d'être de corvée de palettage pour des tireurs de l'armée active. Cela consiste à indiquer au tireur le résultat de chaque tir. Maintenant il doit y avoir des interphones entre le pas de tir et la fosse qui se trouve juste au dessous des cibles, mais à l'époque c'est visuellement, par l'entremise d'une palette que l'on indiquait le score au tireur. Et je puis vous dire que sur un tir couché à 200 mètres j'indiquais le plus souvent le 9 et le 10. de quoi être jaloux.

C'est bien plus tard que j'apprendrais à déterminer mon oeil directeur, pour moi c'est le gauche, et j'utilise le droit, pas évident quand on est droitier. Aurais je eu de meilleurs résultats?

Ci après, les armes que j'ai utilisé, lors de mon séjour militaire.