LES JOIES DU SKI.
Vous connaissez le supplice du brodequin?
Sympa le supplice, n'est ce pas? (Ça vous gratouille ou ça vous chatouille?)
Vous avez fait votre service militaire?
Marcher 20 Km avec ça aux pieds ce n'est rien, à coté de ....????
CELA
Bien sur, ceci est un modèle récent, mais, avez vous connu les anciens modèles, les modèles des années 80, et je ne parle,et pas des modèles en cuir de nos aïeux.
Quoi de plus maso à l'époque qu'un skieur.
Je n'ai heureusement pas été torturé au brodequin, mais j'imagine!!.
J'ai pratiqué les rangers avec leur farandoles d'ampoules, là j'ai vu.
Mais rien à voir avec la première expérience avec ces carcans qu'étaient les chaussures de ski.
D'abord enfiler le pied dans l'objet, la cheville se tord, il faut forcer, après quelques secondes d'efforts le pieds est enfin dans l'engins. Même supplice pour le second pied.
Vient alors le moment de fermer "la boite". On arrive bien à fermer les deux premières boucles, celles du bas, mais quand vous arrivez à celles du haut, c'est une autre histoire, les diverses languettes en plastique s'entrechoquent, laquelle va se glisser sous l'autre?, vous essayez d'enclencher la boucle de l'attache dans le premier cran, mais il manque toujours 2 millimètres pour accrocher, enfin au bout de grands efforts, çà c'est fait. Pas encore sur les pistes mais déjà en sueur, si vous ne vous êtes pas fait un lombago.
Vient alors pour le skieur débutant le moment de faire le premier pas ( pas celui de la chanson de Claude-Michel Schönberg), mais celui d'un manchot sur sa banquise. Les pieds se placent dans le brodequins, et c'est là......!!! Que l'on s'aperçoit que!!!
ÇA FAIT MAL. *
*( pas la chanson de Chritophe Maé)
A SUIVRE